Dans un contexte de pollution de plusieurs cours d'eau par les PCB et de dépassement des teneurs maximales autorisées dans certaines zones pour plusieurs espèces de poissons d'eau douce, l'Agence a été chargée, en 2008, de réaliser, en collaboration avec l'Institut de veille sanitaire, une étude sur l'imprégnation aux PCB des consommateurs de poissons d'eau douce. A l'issue de trois années de travail, les résultats de cette étude montrent notamment que les imprégnations mesurées dans cette étude sont voisines de celles de la population générale. Ce travail, a permis à l'Anses d’établir des fréquences de consommation maximale de poissons fortement bio-accumulateurs de PCB sans risque pour l'homme sur le long terme.


Français