En 2005-2006, lors de l’épidémie de chikungunya à La Réunion, une sous-espèce de la bactérie Bacillus thuringiensis (Bti) a été utilisé en remplacement du téméphos dans la lutte contre les moustiques responsables de la transmission de cette maladie. A cette occasion, le Bti a été évalué par l’Agence et afin de disposer de produits alternatifs pour éviter le développement de résistances chez les insectes ciblés par le traitement, deux substituts potentiels au Bti, le pyriproxyfène et le spinosad, ont été identifiés et eux aussi évalués en vue d’une utilisation en lutte antivectorielle.
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